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Militants Juppéistes - G. GASCON : Le Clash

Clash entre Les militants « Juppéistes (LR) » et le petit soldat Sarkozyste Gilles GASCON (LR).

  

icone_pdf_square.jpg Article du journal local Le Progrès : Icone_Telecharger_White.jpg

  

Dans le cadre des « primaires » du parti politique « LR » (Les Républicains) les militants se mobilisent. A Saint Priest, les partisans d'Alain Juppé, originaire de Saint-Priest et de Vénissieux, ont reçu un accueil plutôt favorable. Si la plupart du temps les tractages se passent bien, les militants reconnaissent que ce jour-là, le comportement du maire Gilles GASCON s’est avéré décevant voire même assimilable à celui d’un « délinquant abêti », un enfant à qui on allait prendre son jouet. Mais sur le terrain, leur idéal prit le pas sur la déception car ils savent entendre ce que les habitants disent et comprendre leur mécontentement.

  

Equipe_Juppe_2017.JPG

    

Ce Dimanche 16 octobre 2016, à 10 heures du matin, adhérents et sympathisants du parti politique « Les Républicains » étaient réunis sur la périphérie de la place Roger Salengro (zone réglementée pour le tractage) pour faire la promotion de leur candidat à la candidature de la présidence de la république française, Alain Juppé. Le contact avec la population San Priote était plutôt chaleureux, le temps était au beau fixe, le tout couronné d’une ambiance bon enfant. Soucieux de la réglementation qui cadre le tractage sur les marchés, René Bousquet (coordonnateur régional du comité de soutien à Alain Juppé), a contacté à trois reprises la mairie de Saint Priest pour informer les services compétents ainsi que le maire, qu’une campagne de tractage se tiendrait Place Roger Salengro Dimanche 16 octobre 2016 à partir de 10h00 du matin. Confrontés au mutisme des services de la ville et particulièrement à celui du maire Gilles GASCON, Philippe Altmeyer (Capitaine de Police honoraire et fervent militant Juppéiste) a décidé d’informer par courrier le 1er le magistrat de la ville. A la lecture de ce courrier, Gilles GASCON a préféré contacter par téléphone Philippe Altmeyer pour lui signifier qu’un accord tacite entre élus de la 13ème circonscription, représentée par le Député Sarkozyste Philippe Meunier, serait en vigueur. Prenant acte de ces informations, les militants et les adhérents juppéistes (LR) ont décidé de tracter sur la zone réglementaire tout en respectant la procédure ; l’objectif étant, en respect du droit et des libertés individuelles, d'informer la population San Priotes.

Le temps est passé à l’orage quand le sarkozyste anti-démocrate et maire Gilles GASCON a été informé de la présence et de l’activité des Pro Juppéistes. Sans même oser rencontrer ces militants, Gilles GASCON a pris l’initiative de missionner un équipage de trois policiers municipaux pour mettre un terme à une action purement démocratique.

  

  

Selon nos témoins, les policiers ont été informés par « un coup de fil anonyme » d’une opération de tractage susceptible de gêner le bon déroulement du marché. Pour solutionner cette situation, représentative d’un « danger potentiel » uniquement pour le clan des Sarkozyste, les policiers municipaux ont proposé aux militants de se décaler de quelques pas pour continuer de tracter. Pendant ce déplacement, les policiers municipaux ont informé ces personnes qu’ils avaient autorité pour interdire cette matinée de tractage. Sur ces propos, Philippe Altmeyer les a informés de l’irrecevabilité de leurs arguments. En effet, comme toujours en matière de police administrative, la restriction de la liberté du « colportage » n'est légale que si elle est nécessaire à la protection de l'ordre public au sens large et si elle est proportionnée aux circonstances de temps et de lieu qui la motivent. Par conséquent, le maire ne peut interdire les distributions de tracts que lorsque les circonstances l'exigent, par exemple si l'ordre public ou la circulation risquent d'en être troublés (tribunal administratif de Marseille, 7 janvier 1997, préfet du Vaucluse et M. Thierry Mariani contre la commune d'Orange ; tribunal administratif de Marseille, 28 avril 1998, M. Thierry Mariani et M. Alain Nouveau).

Les distributions de tracts sont donc possibles sans déclaration ni autorisation préalable. Si un arrêté municipal impose une déclaration ou une autorisation, il est possible de porter plainte auprès du tribunal administratif, c'est à priori un abus de pouvoir. Il est par contre interdit par le Code de la route de distribuer des tracts aux occupants des voitures sur les voies de circulation (donc même aux feux).

Eu égards aux informations portées à la connaissance des policiers municipaux, ceux-ci quittaient l’emplacement pour surveiller le reste de la zone marchande.

Une demi-heure plus tard, contrarié de constater la présence des militants juppéistes fermement décidés à promouvoir la candidature d’Alain Juppé (LR) sur Saint Priest, territoire de la république, Gilles GASCON, sur un ton méprisant et virulent, a agressé verbalement une militante, Mme Leïla A., qui ne faisait que lui tendre un tract. Dans ce groupe de militants étaient également présents des hommes, mais par manque d’audace et de courage, Gilles GASCON a préféré s’attaquer à une femme. Pour expliquer son comportement à la fois irrationnel, inacceptable et incompatible avec la fonction de maire, Gilles GASCON a lâché à son interlocutrice : « Nous, les élus, on avait un arrangement entre nous ! ». Quelle belle perception de la démocratie que de ne pas considérer le travail et les convictions des militants ! D’ailleurs la réponse formulée par Mme Leila A. était très explicite : « Vos petits arrangement ne nous regardent pas ! Nous sommes des militants ! ».

Atteint dans son ego démesuré, Gilles GASCON s’est montré plus agressif, plus menaçant. D’un pas décidé, celui-ci est revenu à la charge, toujours sur la personne de Mme Leïla A. Dans une vaine tentative d’intimidation, Gilles GASCON s’est approché irrespectueusement de Mme Leïla A., a envahi son espace vital, l’a pointée du doigt puis a usé de son statut pour l’effrayer : « Madame, ici je suis le maire ! ». La réponse de l’intéressée ne s’est pas fait attendre : « Et alors, vous croyez m’impressionner ! Vous baissez votre main ! ». Pour mettre un terme à cette tentative d’intimidation indigne d’un politique en responsabilité, Maxence N. s’est interposé entre sa femme et Gilles GASCON, en l’invitant courtoisement à cesser immédiatement ses agissements. Pour étayer les propos que nous tenons, nous nous sommes procuré une vidéo qui vous permettra de vous rendre compte de la faiblesse d’esprit du maire Gilles GASCON envers son propre camp, Les Républicains ! Nous remercions au passage Nadège M. d’avoir accepté de nous communiquer ces vidéos.

  

  

Cela étant, les habitués du Conseil Municipal de Saint Priest ainsi que les lecteurs de la revue politique municipale « Couleurs » connaissent les rengaines « stériles et revanchardes » du maire par cœur. Si l’interdiction de distribuer des tracts de campagne dans ces lieus traditionnels de la vie politique surprend, nous avons tous en en tête les images de personnalités politiques écumant les marchés durant leur campagne. En creusant un peu, il s’avère que ce genre de règlementation est tout à fait banal, et même acté par une décision du Conseil d’Etat du 17 avril 2012. Eh oui : tracter sur un marché n’a en fait rien d’aisé car très cadré. Pourtant en 2014 et en 2015, Gilles GASCON et ses équipes ne s’étaient pas gênés pour tracter régulièrement au cœur même des marchés de Saint Priest sans qu’ils ne soient pour autant inquiétés.

A présent, la question est de savoir si à l’avenir nous aurons encore le droit de distribuer des tracts sur les marchés. Non, la question n’est pas si saugrenue. En effet en avril 2012, un arrêt du conseil d’Etat a considéré que l’interdiction, par le maire de Saint-Cyr-l’Ecole, de distribuer des tracts sur le marché de la commune, « ne porte pas gravement atteinte aux libertés d’expression et de communication ». Et le conseil d’Etat a donc annulé la décision du tribunal administratif, qui avait lui-même annulé l’arrêté du maire portant interdiction de distribuer les tracts sur le marché.

Si par la saisie d’un arrêté M. GASCON considère qu’il y a atteinte à l’ordre public, alors il devra faire preuve d’exemplarité et ainsi s’inscrire dans une démarche lui interdisant toutes pratiques visant à informer les citoyens par voie de tractage sur les marchés. On ne peut pas être à la fois juge et partie !

Pour autant, Gilles GASCON n’a pas fait référence à aucun arrêté municipal pour mettre un terme à cette manifestation. Ceci démontre une fois de plus son incompétence en matière de police administrative. Et oui M. GASCON, quand bien même la faculté de pensée n’est pas innée chez vous, sachez que vous ne pouvez interdire le tractage sur les marchés lors d’une campagne électorale si celle-ci ne perturbe en rien l'action des commerçants qui paient leur place...

Cela signifie, M. GASCON, que si à l’avenir vous vous autorisez à interdire le tractage (le contact entre les commerçants, les militants et les citoyens), par quel qu’artifice que ce soit, alors nous veillerons à ce qu’aucune de vos équipes ne puisse le faire. Nous prendrons des clichés, nous dénoncerons vos pratiques et nous vous poursuivrons au nom de l’égalité si chère aux yeux de notre République Française.

En effet, Gilles GASCON semble ignorer le contenu de son arrêté, pire encore son sens ! Ce document définit la zone de tractage autorisée. Les militants Juppéistes étaient d’une part, bien plus informés que le 1er magistrat de la ville de Saint Priest et d’autre part en adéquation avec l’arrêté en vigueur : chercher l’erreur !!!

Les pratiques de cet exécutif de droite bafouent les principes mêmes de la liberté d’expression et de la démocratie ! L’agitation de Gilles GASCON s’est résumée à des menaces qui n’ont trouvé aucun écho auprès des intéressés.

Au-delà d’une erreur politique grotesque, celle de priver les San Priods d’informations capitales relatives aux élections des primaires de la droite et du centre, Gilles GASCON très contesté dans sa propre famille politique, par son acte prémédité, anti-démocratique et délibéré joue son avenir politique !  Le spectre de P. Meunier est omniprésent !

Quelle crédibilité aura-t-il dorénavant aux yeux des équipes Juppéistes si leur leader sort vainqueur des primaires ? Gilles GASCON saura-t-il se faire entendre auprès des deux militants qui ont déposé chacun une main courante contre lui au commissariat de Saint Priest ? 

Cependant, si dans l’entourage de Gilles Gascon on se refuse à commenter cette agression, sachez (selon nos témoins) qu'il gèlera en enfer avant que des excuses émanent du camp Juppé. Seul Gilles GASCON est capable d'embrasser son agresseur !
 

  

Téléchargement des dépôts de mains courantes :

icone_pdf_square.jpg Récépissé de déclaration de main courante - Leïla ARFAOUI Icone_Telecharger_White.jpg
icone_pdf_square.jpg Déclaration de main courante - Leïla ARFAOUI Icone_Telecharger_White.jpg
icone_pdf_square.jpg Récépissé de déclaration de main couranteEn attente. Icone_Telecharger_White.jpg
icone_pdf_square.jpg Déclaration de main courante - En attente. Icone_Telecharger_White.jpg

  

    

Ps : Souvenez des propos mensongers que Gilles GASCON et son équipe Sarkozyste distillaient auprès des habitants de Saint-Priest.

icone_pdf_square.jpg Document de campagne 2014 utilisé par Gilles GASCON  Icone_Telecharger_White.jpg

  

Totalitarisme_GG.png

Définition du totalitarisme : Le totalitarisme désigne un mode de gouvernement, un régime politique dans lequel un parti unique détient la totalité des pouvoirs et ne tolère aucune opposition (monopartisme), exigeant le rassemblement de tous les citoyens en un bloc unique derrière l'Etat.

Le totalitarisme est un mode de fonctionnement de l'Etat dans lequel celui-ci prétend gérer, outre la vie publique, la vie privée des individus (régime policier, encadrement de la jeunesse et des relations professionnelles...).

Le totalitarisme est une des formes de despotisme apparue au XXe siècle. Historiquement, le totalitarisme est issu du fascisme. Mussolini fut le premier à parler d'"Etat totalitaire" et à le revendiquer. Dans "l'Etat total", l'individu n'existe que par rapport au collectif, peuple ou nation. L'Etat devient un absolu, objet d'un véritable culte. Il est militarisé pour assurer la terreur et asseoir sa domination sur les individus.

La philosophe allemande naturalisée américaine, Hannah Arendt (1906-1975), qui fait référence pour ses travaux sur le totalitarisme, considère que contrairement au régime autoritaire classique qui se limite à un territoire déterminé, un régime totalitaire est à la recherche d'une domination totale et sans limites (Cf. Hannah Arendt et le totalitarisme).

Exemple de régimes totalitaires : Le fascisme italien, Le national-socialisme allemand, Le régime stalinien (cf. Stalinisme), La Corée du Nord.

    


Date de création : 19/10/2016 11:53
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